Démissionnaire de son poste d’entraîneur de Valence en fin d’année 2016, Cesare Prandelli persiste et signe : le club espagnol est mal, très mal géré.
"Valence pensait, à tort, que parce que le club avait la quatrième masse salariale de la Liga, il devait terminer à la quatrième place, a estimé l’Italien au micro de Mediaset Premium. Ils voient le sport avec une approche économique, mais dans le foot ça ne se passe pas comme ça. Je ne pouvais tout simplement pas rester à Valence. J'ai fait savoir aux dirigeants qu'on avait des manques et qu'on avait besoin de renforts. On m'avait promis des recrues, un investissement de 30 millions euros. Mais il n'y a rien eu. C'est difficile d'obtenir des résultats si on ne choisit pas les joueurs."
Visiblement, Prandelli ne regrettera pas son court passage de trois mois du côté de Mestalla...