Tombeur de Trélissac (1-1, 4-2 t.a.b.) dimanche en 32es de finale de la Coupe de France, l’Olympique de Marseille a déclenché une polémique en refusant de céder sa part de recettes billetterie à la formation de National 2 (voir ici). Invité à commenter ce dossier sensible, l’entraîneur phocéen André Villas-Boas s’est dit étonné par l’ampleur prise par cette affaire, lui qui n’avait pas encore entendu parler de cette tradition française.
"Je ne sais pas, je ne suis pas un expert. Je ne connaissais pas cette tradition. J'ai vu que d'autres clubs ne l'avaient pas laissée (voir ici). C'est une décision prise par le président. On n'a pas cette question au Portugal", a coupé court le technicien ce mercredi en conférence de presse.
AVB a ensuite préféré recentrer le débat sur les conditions de jeu. "L'ambiance était spectaculaire à Limoges. Le public nous a bien soutenu, mais le terrain était un désastre. Je pense qu'on peut faire mieux que ça. Mais tu ne peux pas inverser le match sinon c'est un scandale face à une équipe amateur", a tout de même admis le coach, plus diplomate que ses dirigeants.