La Super Ligue n'est pas morte, et elle a même récemment contacté plus d'une cinquantaine de clubs pour lui présenter son nouveau projet, lequel comprendrait entre 60 et 80 équipes dans une ligue finalement ouverte (voir ici). Peu importe pour le président de la Ligue espagnole, Javier Tebas, qui continue de s'opposer à la compétition prônée par le Real Madrid, le FC Barcelone et la Juventus Turin.
"Ne vous laissez pas berner par une agence (A 22, chargée de vendre le nouveau projet dans les médias, ndlr) financée par des amis du président du Real, Florentino Pérez, l'auteur intellectuel de cette initiative. Il s'agit de la dernière tentative de prise en otage du football européen par les grands clubs. Par l'entremise de diverses entités au fil des ans, les grands clubs ont pris en otage de façon répétée les différents organismes du football européen, afin d'amasser toujours plus d'argent et de pouvoir. M. Reichart (le boss de A 22, ndlr) est le nouveau visage d'un coup d'État des grands clubs pour prendre le contrôle total et faire du football européen un sport pour l'élite et non pour tous", a estimé le grand ennemi du Paris Saint-Germain sur Twitter.
"La compétition imaginée par M. Reichart et ses amis est un coup d'État au modèle de football européen et mettrait fin aux championnats nationaux, quoi qu'ils en disent, d'où l'opposition unanime des Ligues nationales de toutes tailles", a-t-il conclu.