Désigné entraîneur de Sunderland cette semaine à la place de Martin O'Neill viré lundi dernier, Paolo Di Canio est sous le feu de vives critiques. Son passé trouble, où il affirmait être admiratif de Mussolini et avait esquissé un salut fasciste en 2005, l'a rattrapé. Le technicien italien dément pourtant ces accusations.
"Je suis un homme honnête, mes valeurs et mes principes viennent de ma famille, de mon éducation. Je ne suis pas celui que certains veulent bien dépeindre. Je suis apolitique, je ne suis pas lié à une organisation, je ne suis pas raciste et je ne supporte pas le fascisme. Je respecte tout le monde", a-t-il réagi dans un communiqué ce jeudi.
Son intronisation ne fait pas l'unanimité. Dès l'annonce de son arrivée, le vice-président de Sunderland David Miliband avait annoncé son départ.