A Séville, tout le monde ou presque a oublié Unai Emery. Et pour cause, son successeur, Jorge Sampaoli, réalise un travail exceptionnel à la tête du club andalou. S’il n’est pas attaqué pour ses compétences en tant qu’entraîneur, l’Argentin a néanmoins été critiqué par son prédécesseur au poste de sélectionneur du Chili, Claudio Borghi.
"Jorge Sampaoli n'a pas survécu comme entraîneur en Argentine parce qu'il n'a aucun code. Éthique, je préfère dire, parce que je n'aime pas parler de code. Quand dans un pays de football, tu passes au-dessus de l'éthique, quelqu'un va te le faire payer", a assuré le Sud-Américain au micro de Fox Sports.
Selon Brighi, Sampaoli aurait fait des pieds et des mains pour le remplacer à la tête de la Roja alors que le premier était encore en place. Les Chiliens, eux, n’en voudront pas à l’actuel coach sévillan, qui leur a offert le premier titre continental de leur histoire en 2015.