Après le nul (1-1) dans le derby face au Genoa, le président de la Sampdoria, Massimo Ferrero, a publiquement révélé l'existence de menaces de mort de la part de son homologue de Palerme, Maurizio Zamparini.
"Il m'a menacé de mort, il se passe des choses incroyables, il continue de m'insulter, la justice sportive doit intervenir. Zamparini doit faire un examen de conscience. Je suis nouveau dans le monde du Calcio, il devrait se rappeler du passé et de combien de joueurs il s'est offert de manière peu élégante", a expliqué Ferrero à La Gazzetta dello Sport.
Le cas du milieu de terrain Edgar Barreto, en fin de contrat à Palerme et promis à la Sampdoria, serait à l'origine des tensions entre les deux hommes. "Au début, j'ai demandé la permission à Zamparini de négocier, et il a gentiment accepté, mais ensuite, il m'a envoyé des menaces horribles que je ne peux même pas répéter !", a ajouté le patron de la Samp.
Réponse de l'accusé : "Il est fou, je ne l'ai jamais menacé de mort. J'ai conservé les messages, je présenterai tout ça à la Fédération et c'est moi qui porterais plainte. Je lui ai juste dit : 'Bravo. Je t'attendrai au bord du fleuve.' Ce n'est pas une menace."
Ça y ressemble quand même un peu...