Si la VAR a permis de corriger plusieurs erreurs d'arbitrage, elle n'évite pas les polémiques. Plusieurs clubs estiment notamment que cet outil n'est pas utilisé de la même manière par tous les arbitres et que ces derniers ont également tendance à favoriser les "grosses" équipes. Dans les colonnes de L'Union, le président de Reims, Jean-Pierre Caillot, propose de changer les hommes en charge de l'assistance vidéo (des arbitres en activité) en nommant "d'anciens arbitres dont l'expertise sera pondérée, sereine et désintéressée".
"D'un match à l'autre, d'une journée à une autre, les interprétations ne varieront pas. Toutes les semaines, c'est le bazar alors changeons les juges. Les contestations ont toujours existé, mais la vidéo qui a exigé un gros investissement financier, n'est-elle pas là pour une plus grande impartialité dans les décisions ? Je demande que ce soient les mêmes yeux qui exercent sur tous les terrains de France", a indiqué le patron du club champenois.