Si le Paris Saint-Germain entend bien lever la clause libératoire de 222 millions d’euros de l’attaquant du FC Barcelone, Neymar (25 ans, 45 matchs et 20 buts toutes compétitions en 2016-2017), l’UEFA souhaite fixer une condition cruciale au club de la capitale : un dégraissage intensif.
Selon les informations de RMC, l’instance continentale ne veut pas laisser le vice-champion de France faire ce que bon lui semble sur le marché des transferts et réclame qu’il vende pour au moins la moitié de ce qu’il dépensera pour le Brésilien, soit environ 110 millions d’euros, avant le 31 janvier 2018. Alors que le PSG travaille pour établir le meilleur montage financier possible, cette solution ne semble pas plaire du côté des dirigeants.
Pour rappel, l’UEFA ne peut pas imposer cette volonté à la formation française, qui peut sortir le chèquier comme elle le souhaite. Mais si le PSG ne s’y plie pas, il pourrait s’exposer à des sanctions à l’avenir, dès le prochain mercato estival, afin de rester dans les clous du fair-play financier.