Pointé du doigt pour ses dépenses faramineuses depuis l'arrivée des Qataris, le Paris Saint-Germain ne fait pas l'unanimité en Europe, au grand dam du président de la Direction Nationale du Contrôle de Gestion (DNCG), Richard Olivier.
"On a permis à des clubs comme Chelsea de constituer leur fonds de commerce sans restrictions, alors que les nouveaux venus devraient être tout de suite rentables. Roman Abramovitch a dépensé près d'un milliard. Les Qataris en sont encore loin. Le déficit du PSG - estimé à 100 millions d'euros - m'inquiète moins que celui d'autres clubs. Qatar Sports Investments (QSI) n'a pas l'intention de quitter Paris bientôt. Ses investissements ont réveillé une Ligue 1 qui s'endormait", a lancé Olivier au Journal Du Dimanche.
Toutefois, l'instauration prochaine du fair-play financier pourrait contraindre les Parisiens à plus de prudence…