"Il y a eu un crachat de Di Maria". Après la victoire face au Paris Saint-Germain (1-0) dimanche dans le Clasico, l’entraîneur de l’Olympique de Marseille, André Villas-Boas, accusait l’ailier parisien d’avoir craché sur son défenseur central Alvaro Gonzalez (voir ici). Comme pour le cas des insultes racistes dont se plaint Neymar, les images mises à disposition par Téléfoot ont donc été passées au peigne fin, et comme dans le cas du Brésilien (voir ici), leur analyse n’a permis d’obtenir aucune preuve concrète.
"Cela a fait l’objet d’une recherche par l’assistance vidéo à cette minute-là et elle n’a pas trouvé d’images qui étayaient ce fait-là . Cela ne veut pas dire que ce n’est pas arrivé, mais il n’y a aucune image vidéo qui de manière probante pouvait étayer ce point précis", a expliqué le directeur technique de l’arbitrage, Pascal Garibian, à l’AFP.
Pour rappel, l’Argentin encourt jusqu’à 6 matchs de suspension en cas de crachat avéré.