Nouvelle révélation dans l’affaire Kheira Hamraoui. Initialement soupçonnée et placée 36 heures en garde à vue suite à l’agression dont a été victime la milieu de terrain du Paris Saint-Germain le 4 novembre, Aminata Diallo avait été relâchée sans qu’aucune charge ne soit retenue contre elle. En revanche, M6 révèle ce vendredi qu’Hamraoui a indiqué, dans une audition et dans un courrier envoyé à la juge, avoir reçu des menaces claires de la part du garde du corps de Diallo lors d’un entraînement fin novembre. Des accusations qui ont fait bondir l’entourage de la Parisienne.
"Aminata Diallo ne bénéficie d’aucune mesure de protection. Le PSG n’a donc pas mis à sa disposition de garde du corps et il est étonnant comme injustifié que l’on puisse encore salir son nom avec de fausses informations", a déploré un proche de la joueuse.
De son côté, L’Equipe nous apprend justement qu’une réunion a eu lieu jeudi entre les deux femmes en présence du manager général de la section féminine du PSG, Ulrich Ramé, et d’une médiatrice indépendante. Malgré une ambiance décrite comme tendue, les deux Parisiennes se sont dit prêtes à rejouer ensemble.