Toujours aussi déçu de son passage furtif, entre juin et septembre, à l’Olympique de Marseille (voir la brève de 08h48), l’entraîneur Marcelino sait pertinemment que la double confrontation perdue contre le Panathinaïkos (0-1, 2-1, 3-5 tab) lors du 3e tour préliminaire pour la Ligue des Champions a joué en sa défaveur. Avec du recul, le technicien espagnol note une réelle injustice.
"Le résultat du match contre le Panathinaïkos, la façon dont nous avons été éliminés, ça n’a pas seulement été injuste, c’était cruel. Je pense que c’était très cruel. Mais c’est le football. Cela arrive, cela m’est arrivé, ainsi qu’à beaucoup d’autres entraîneurs. Dans ce sport, vous devez marquer un but que votre rival pour gagner et vous qualifier", a déploré le technicien espagnol, qui vient de s’installer sur le banc de Villarreal, auprès du média El Mediterraneo.