Sous la menace d'un point de pénalité avec sursis après les débordements de ses supporters à Angers (0-0), le 22 septembre, en Ligue 1, l'Olympique de Marseille a été seulement condamné à un match à huis clos total, contre Troyes au Vélodrome, après les incidents survenus lors de la réception du Paris Saint-Germain (0-0), le 24 octobre. Une décision expliquée par le président de la Commission de Discipline de la Ligue de Football Professionnel Sébastien Deneux.
"Il y a eu une accumulation de divers manquements avec des supporters sans billets dans le stade, une pyrotechnie très massive, des jets d'objets et l'introduction d'un supporter sur la pelouse. Ils ne sont pas de même nature que ceux d'Angers, où il y a eu un envahissement de pelouse. C'est pour cela que le sursis ne tombe pas. Mais néanmoins, la multitude de ces incidents entraîne la décision d'un huis clos total pour un match", a expliqué Deneux dans les colonnes du quotidien L'Equipe ce jeudi.