Déjà peu apprécié par les supporters de l'Olympique de Marseille, le président Jacques-Henri Eyraud a été fragilisé par le message grinçant envoyé par son entraîneur André Villas-Boas en conférence de presse mercredi (voir ici). A la suite de l'intervention du technicien portugais, le dirigeant marseillais a même été menacé de mort sur le réseau social Twitter.
Après le dépôt d'une plainte dans la foulée et les excuses de l'homme concerné, Eyraud a reçu le soutien des syndicats des patrons de clubs Première Ligue et UCPF via un communiqué commun. "Nous condamnons avec la plus grande fermeté les menaces de mort dont a fait l'objet Jacques-Henri Eyraud, et avant lui, d'autres présidents", peut-on lire.