Un peu plus d'un mois après le houleux match opposant le Paris Saint-Germain à l'Olympique de Marseille (0-1), la tension a significativement baissé suite aux accusations de racisme d'Alvaro Gonzalez (30 ans, 5 matchs en L1 cette saison) à l'encontre de Neymar. Un véritable soulagement pour le président du club phocéen, Jacques-Henri Eyraud.
"Évidemment qu'Alvaro n'est pas un joueur raciste. J'ai vu un homme blessé, touché, effondré, par rapport à ce qu'il s'était dit de lui. Je suis heureux qu'on ait reconnu qu'il n'y avait pas eu de preuve montrant qu'il avait dit des choses inacceptables et qu'il se concentre aujourd'hui sur le terrain en étant l'homme qu'il est. C'est-à -dire quelqu'un de bien fondamentalement", a expliqué le dirigeant marseillais pour RMC.
"Ne serait-ce que parce que nos supporters ne l'accepteraient pas. Un joueur étant coupable d'actes de racisme serait immédiatement ostracisé et rejeté par nos supporters. (...) On est le club de l'antiracisme. Le club de la diversité. Un club qui est fidèle à la diversité du monde et qui est conscient que sa diversité fait la richesse de notre ville et aussi de notre football", a rajouté JHE.