Roberto De Zerbi avait eu des mots forts avant la trêve internationale. Après la défaite contre Auxerre (1-3) en Ligue 1, l'entraîneur de l'Olympique de Marseille, en colère, a proposé de partir s'il était le problème, mais a parlé après coup d'une sortie mal interprétée (voir ici). En conférence de presse ce vendredi, l'Italien a affiché son engagement avec des mots forts.
"Moi, mais les joueurs et le club de manière générale, n'acceptons pas le match contre Auxerre. Sur le terrain, ce n'était pas suffisant. Je n'ai pas employé de mots forts. J'ai juste assumé mes responsabilités. Si vous croyez que je vais démissionner, que c'est mon idée, je tiens vraiment à souligner que je ne fuis pas. Je reste ici, je n'ai pas fui du Shakhtar, même quand Poutine a lancé des bombardements à Kiev. Je crois en cet OM, aux joueurs que j'entraîne. Je ne vais nulle part ailleurs", a insisté le manager transalpin, bien déterminé à repartir de plus belle.