"C'est triste pour la Ligue 1 d'avoir des équipes qui ne jouent pas au foot et restent tout le temps par terre." Remonté après le match nul concédé ce dimanche au Stade Vélodrome (0-0) en Ligue 1, le milieu de terrain de l’Olympique de Marseille, Mattéo Guendouzi, n’a pas hésité à tacler le FC Metz. Des propos qui n’ont évidemment pas été du goût du coach messin, Frédéric Antonetti.
"Je veux revenir sur quelque chose, tout le monde rouspète sur le dernier quart d'heure haché. Comme si le match n'avait duré qu'un quart d'heure. Le reste du match n'a pas été haché. Je voudrais faire remarquer, à ceux qui ont eu des remarques désobligeantes : Udol est rentré, il s'est blessé. Il a le droit de se blesser, ou non ? On ne fait pas de comédie. Pajot est rentré et s'est blessé aussi. Deux remplaçants qui se blessent, on fait deux changements, a clarifié le technicien devant les médias, avant d’y aller de sa pique. Je comprends leur déception. Ils sont sur la déception de ne pas avoir gagné contre le 19e, devant 60 000 personnes. La déception ne doit pas empêcher la lucidité et la clairvoyance. Deux entrants se sont blessés, on doit en tenir compte. On joue à 10 contre 11, il y a neuf minutes de temps additionnel. Ils n'ont pas trouvé la solution. Il faut rester lucide et clairvoyant, que l'énervement ne fasse pas dire n'importe quoi parfois."
Une mise au point musclée !