Suite aux perquisitions effectuées mercredi matin au centre d'entraînement de l'OM, plusieurs quotidiens avaient soupçonné le directeur sportif du club José Anigo d'entretenir des relations étroites avec certaines branches du banditisme marseillais. Ce que l'ancien coach dément ce samedi matin.
"Cette enquête va permettre de mettre un terme à tout un tas de rumeurs, se réjouit Anigo dans L'Équipe. Je n'ai strictement rien à me reprocher. Les raccourcis me gênent. Ce n'est pas mon bureau mais tous les bureaux de l'OM qui ont été perquisitionnés. (...) Christophe D’Amico (l'intermédiaire présumé avec les milieux du banditisme, Ndlr) ? Si je l’ai croisé deux fois, c’est le bout du monde. Je n’ai jamais fait un deal avec lui."
Le Parisien révélait jeudi que le recruteur avait été placé sur écoute par la justice durant l'été 2011.