Interrogé par le quotidien Le Progrès, le président de la Fédération Française de Footall Philippe Diallo est notamment revenu sur les incidents du 29 octobre dernier, en marge de l'Olympico entre l'Olympique de Marseille et l'Olympique Lyonnais. Alors que le match a été reprogrammé au 6 décembre, dans les conditions initialement prévues, le patron de la FFF a confié entendre le sentiment d'injustice de l'équipe rhodanienne.
"Je peux comprendre qu’il puisse y avoir une forme d’injustice pour les Lyonnais car ils sont victimes d’une agression (car caillassé, ex-entraîneur Fabio Grosso blessé, ndlr) et lorsqu’on regarde le bilan, le match va se rejouer, ils vont avoir à se déplacer à nouveau à Marseille. Mais la difficulté de ce dossier est liée à la localisation des faits : ceux-ci se sont déroulés sur la voie publique donc il n’appartient pas encore aujourd’hui aux commissions de la Ligue et de la Fédération, de juger de faits totalement extérieurs aux périmètres de nos stades", a justifié le boss de la 3F.