Comme nous vous l'indiquions mercredi (voir ici), le directeur général délégué du FC Nantes Franck Kita, après les agents Bakari Sanogo et Joaquim Batica, a été placé en garde à vue en raison d'une information judiciaire ouverte pour "exercice illégal d'une activité d'agent sportif par un ressortissant d'un État membre ou partie à l'accord sur l'espace économique européen, faux et usage de faux, abus de biens sociaux, blanchiment de fraude fiscale aggravée et blanchiment en bande organisée".
Dans le cadre de cette enquête, le président des Canaris Waldemar Kita a également passé quelques heures en garde à vue, selon les informations du quotidien régional Ouest-France ce jeudi. Le dirigeant polonais a dû répondre à quelques questions de la Police Judiciaire de Nantes sur des "transferts douteux" avant de retrouver sa liberté.