Il ne fait pas bon être entraîneur à Nantes. Notamment quand vous avez comme président un certain Waldemar Kita, lequel rêve d'être tout-puissant chez les Canaris.
"Un vestiaire est un Etat dans l'Etat. Le président n'a rien à dire la plupart du temps. C'est grave quand même. Dans quelle activité un cadre supérieur, comme l'entraîneur, ne respecte pas son président ? Aucune ! (...) Il y a un président qui gère et un entraîneur qui est un employé. L'employé doit écouter ce qu'on lui dit, c'est tout, s'emporte le dirigeant nantais dans les colonnes de France Football ce mardi. Qu'est-ce qu'il y a de méchant à dire que jamais je ne ferai confiance à un entraîneur ? Je persiste et je signe. (...) Ils n'ont pas la formation adéquate. Regardez Blanc : il a fait une école de management. J'encourage tout le monde à le faire. Il faut apprendre d'autres choses que le football."
On souhaite bien du courage au successeur de Landry Chauvin, donné partant en fin de saison.