A l'image de son président, Waldemar Kita (voir la brève d'hier à 23h43), Jocelyn Gourvennec était remonté contre l'arbitrage à l'issue de la défaite contre l'Olympique de Marseille (2-0), dimanche en Ligue 1. L'entraîneur de Nantes estime que les Canaris ont été lésés au Vélodrome.
"On nous refuse deux penalties évidents, un sur Moses Simon en première période qui se fait marcher sur le pied et surtout la quadruple main en deuxième période. Il faut dire les choses. C'est incompréhensible que la VAR n'appelle pas M. Letexier, parce que Pape Gueye n'est pas dans une position naturelle", a ruminé le manager nantais en conférence de presse.
"J'ai joué ici et je sais que sur des petits litiges, on était contents. Là , c'est difficile à expliquer. Le trouble naît de plein de situations qui font débat, sur des images litigieuses. Un coup ils vont voir, un coup non, un coup ils estiment qu'il y a main, un coup non. Ça crée de la frustration. J'ai à peine parlé de loin à l'arbitre et il m'a mis un jaune. C'est scandaleux. S'ils n'arrivent pas à comprendre qu'il peut y avoir un peu d'énervement... Ils font ça pour se donner une pseudo-autorité, ça n'est pas bon. On a eu plein de matchs avec des décisions incompréhensibles, je suis obligé d'en parler", a rajouté Gourvennec.