Jean Fernandez a livré son sentiment sur son départ forcé de Montpellier. Alors que le président Louis Nicollin a affirmé regretter de l'avoir recruté et l'a obligé à rendre son tablier, le technicien a assuré ne pas lui en tenir rigueur.
"Le regret, c'est que dans l'esprit des gens, aujourd'hui, c'est un échec, alors que j'ai l'impression que je n'ai pas commencé, a-t-il confié ce mercredi dans L'Equipe. Je n'ai pas été bon pour le rassurer. J'ai toujours voulu voir le verre à moitié plein. (…) Le président a vu le verre à moitié vide, il a eu peur et craqué."
Nicollin a nommé Rolland Courbis pour lui succéder.