La Commission de discipline de la LFP a décidé jeudi de faire rejouer le match à huis clos entre Metz et Lyon, arrêté le 3 décembre suite à des jets de pétards sur le gardien lyonnais Anthony Lopes. Mais les Grenats ont aussi écopé d'un retrait de deux points, plus un avec sursis. Une sanction qui a provoqué un dérapage incompréhensible de la part du président messin Bernard Serin.
"Quelle faute a-t-on commis ? Celle d'avoir laissé quelqu'un entrer avec un pétard gros comme une petite pile ? 488 engins pyrotechniques ont été jetés dans les stades de L1 cette saison. (...) C'est comme si, il y a quinze mois, la justice avait condamné le Bataclan", a lancé le dirigeant devant la presse.
Une comparaison complétement idiote et disproportionnée avec la tragédie survenue au Bataclan en novembre 2015...