Par la voix de son milieu de terrain Rodri, depuis victime d'une rupture du ligament croisé, ou celle de son entraîneur Pep Guardiola, Manchester City s'est insurgé à plusieurs reprises face à la cadence infernale du calendrier. Le technicien espagnol en a remis une couche en citant l'exemple de la NBA, tout en pointant du doigt une grosse différence avec la ligue de basketball nord-américaine : le temps de repos.
"Peut-être que nous allons disputer la Coupe du monde des clubs (du 15 juin au 13 juillet 2025, ndlr) et arriver dans les dernières phases de la compétition... et dans ce cas, on jouerait donc presque 70 matchs dans la saison ! 70 matchs, c'est comme en NBA, oui. Mais en NBA, ils ont quatre mois de vacances, et nous seulement trois semaines", a regretté l'ancien coach du FC Barcelone et du Bayern Munich en conférence de presse.