Avant la trêve hivernale, la simulation non sanctionnée de l’attaquant Mariano Diaz sur un penalty obtenu face à Toulouse (2-1) a remis sur le devant de la scène un vieux débat : l’Olympique Lyonnais serait favorisé par l’arbitrage. Une polémique stérile aux yeux du défenseur polyvalent des Gones Jérémy Morel (33 ans, 14 matchs en L1 cette saison).
"On a beaucoup de penalties, mais parfois, on aurait pu en avoir d’autres et on ne les a pas eus. Ce n’est pas parce qu’une équipe en obtient pas mal, qu’on est gentil avec elle, a nuancé l’ancien Marseillais dans les colonnes du journal Le Progrès. S’il y a péno, il y a péno. Pour moi, c’est une guéguerre qui ne mène à rien, sauf à mettre une pseudo-pression sur l’arbitrage."
Le vice-président de l’AS Monaco Vadim Vasilyev, le président de l’Olympique de Marseille Jacques-Henri Eyraud… Plusieurs dirigeants de Ligue 1 estiment au contraire que ce sujet mérite un vrai débat.