Pendant la présentation de son nouvel entraîneur Peter Bosz, Jean-Michel Aulas a expliqué son échec dans les discussions avec Christophe Galtier. Selon le président, s’il n’a pas su convaincre le coach de Lille, c’est parce que l’Olympique Lyonnais a refusé de le solliciter en pleine saison. Contrairement à l’OGC Nice, bien parti pour l'emporter sur ce dossier.
"On a mené les choses de manière extrêmement professionnelle, avec beaucoup d’éthique, s’est défendu le dirigeant. Je voulais vous dire à ce sujet que dès le mois de mars, j’avais été sollicité pour rencontrer Christophe Galtier. Et sur le plan éthique, professionnel, je ne rencontre jamais un entraîneur avant la fin du championnat, surtout quand on doit l’affronter. Donc c’est nous qui avons refusé au mois de mars d’avancer sur le sujet."
"Après, on a défini un certain nombre de priorités. Peter et d’autres en faisaient partie. On les a vus. Mais vous ne pouvez pas prendre un entraîneur qui a peut-être déjà signé un contrat et qui est toujours sous contrat avec son club d’origine, qui plus est le champion de France, a-t-il expliqué. On a regardé cette solution et en même temps, on a pris contact avec Peter. Il y avait une troisième candidature d’un entraîneur étranger qui parlait français. On n’a jamais été inquiet."
La partie était donc perdue d'avance, selon Aulas.