Le bug de la goal-line technology lors de Troyes-Amiens (1-0), samedi soir, passe mal du côté de la LFP. Le directeur exécutif de la Ligue, Didier Quillot, a convoqué la société qui gère le dispositif, GoalControl, pour obtenir des explications.
"En fonction des explications qu'ils nous donneront, on avisera en associant à notre réflexion la direction technique de l'arbitrage", annonce Quillot dans les colonnes de L'Equipe, qui a recensé huit bugs depuis septembre 2016.
Si le contrat ne peut être rompu en janvier, une collaboration avec GoalControl, payé 2 millions d'euros par an, pourrait être remise en cause pour la saison prochaine. Il s'agit en tout cas d'une mauvaise publicité pour la société qui est candidate pour la Coupe du monde 2018, après avoir géré l'édition 2014.