Battu par Naples (1-2) et le Hellas Vérone (1-2) lors de ses trois derniers matchs, l'entraîneur de la Juventus Turin, Maurizio Sarri, doit faire aux critiques alors que son équipe a été rattrapée par l'Inter Milan en tête du classement. "Si je n'avais pas voulu être sous surveillance, j'aurais envoyé mon CV pour travailler à la Poste", a lancé le coach bianconero en réponse à une question sur la pression ce mercredi en conférence de presse.
Une sortie qui n'a pas échappé à ... la Poste italienne. Cette dernière n'a pas vraiment apprécié et lui a répondu sur Twitter. "Contrairement à ce qu'avance M. Sarri, la pression existe bel et bien à la Poste, qui est responsable devant les citoyens, les entreprises et les administrations publiques. Nous l'attendons dans l'un de nos 15 000 centres pour qu'il puisse voir en personne notre travail quotidien", a écrit la Poste, qui "se place au troisième rang au plan mondial des entreprises italiennes pour l'image et la réputation". Et pan !