Le 5 mai 1992, Didier Deschamps était un joueur de l'OM. Vingt ans après le drame de Furiani qui a causé la mort de 18 personnes à cause de l'effondrement d'une tribune peu avant le coup d'envoi du match de Coupe de France entre Bastia et Marseille, l'entraîneur olympien se souvient.
"On a vu cette tribune qui montait très haut et qui bougeait parce que les gens chantaient et sautaient. Ça ne respirait pas la sécurité absolue même s'il était impensable d'imaginer ce qui allait se passer par la suite. Le climat était explosif", se rappelle Deschamps.
Près de 2 400 personnes avaient aussi été blessées.