Sur une série de trois échecs consécutifs sur penalty avec l’équipe de France, dont le dernier en date samedi contre la Suède (1-0), Antoine Griezmann (29 ans, 80 sélections et 31 buts) a laissé son coéquipier Olivier Giroud (33 ans, 99 sélections et 40 buts) se charger de cet exercice et marquer mardi contre la Croatie (4-2) en Ligue des Nations. Le Barcelonais a expliqué ce choix sur les ondes de RTL.
"Il y a des moments comme ça où les penos ne rentrent pas. J'ai eu la même chose il y a deux ou trois ans où j'en avais raté six d'affilée, a dédramatisé le natif de Mâcon. Il faut que je continue à les travailler. Comme j'avais déjà marqué (lors du match de mardi, ndlr), Olivier savait très bien que c'était à lui de le prendre. On a ce respect, cette confiance et ce petit truc entre nous deux : s'il y en a un qui n'a pas marqué, l'autre le prend. Il n'y a pas de souci."
Un petit arrangement qui a permis à Giroud de revenir à une unité de Michel Platini, 2e meilleur buteur de l’histoire des Bleus avec 41 réalisations.