Quatre buts encaissés en deux matchs, dont trois sur coups de pied arrêtés : si le bilan offensif des Bleus à l’issue des succès contre les Pays-Bas (3-2) et la Russie (4-2) s’avère très encourageant, la situation semble moins reluisante en défense. Mais, malgré la fragilité de l’équipe de France sur phases arrêtées, l’optimisme reste de mise pour le consultant Eric Carrière.
"Ce n’est pas hyper-grave. On a pris trois coups de pied arrêtés en seconde période, dont deux qui semblent évitables s’il n’y a pas autant de changements, à l’image de Lucas Digne ce soir (mardi, ndlr) ou sur le corner joué à deux. Là , je pense que ce sont des erreurs de concentration liées au fait qu’il y’a eu pas mal de changements, je ne pense pas que ça arrivera à l’Euro", a rassuré l’ancien Lyonnais au micro de Canal+.
Interpellés par leur fragilité dans ce domaine, les hommes de Didier Deschamps ont cependant promis de travailler sur ce point pendant la préparation de la compétition.