Quelques jours seulement après la sortie de Raymond Domenech, qui a affirmé que Nicolas Anelka n'avait pas tenu les propos injurieux dévoilés par L'Equipe deux jours après la défaite de l'équipe de France contre le Mexique (0-2), lors du premier tour de la Coupe du monde 2010 (voir ici), l'ex-attaquant est sorti du bois. Et forcément, l'ancien buteur tricolore, qui a vu sa réputation être sérieusement écornée après cette histoire, boit du petit lait.
"S’il avait dit ça le jour de cette Une, pas de grève des joueurs. Pas de grève, pas de bus. Donc pas de scandale mondial. Peut-être même une victoire dans le dernier match et une qualification à la clé, a estimé Anelka dans un entretien accordé au JDD. Mais ça n’arrangeait ni la Fédération ni L’Équipe de révéler la vérité... Il semblait préférable de la cacher, de condamner le geste solidaire envers moi. Je n’ai aucune rancœur, juste un sourire en coin car le faux est voué à disparaître. Lorsqu’on dit la vérité, on dort bien. Et je dors très bien..."
Même 8 ans après, cette affaire semble toujours aussi sensible...