Seul candidat à sa succession, Gianni Infantino a logiquement été réélu président de la FIFA pour un second mandat de quatre ans, soit jusqu'en 2027 (voir brève 10h00). Une réélection critiquée par certains observateurs, tout comme la réforme de la Coupe du monde pour l'édition 2026. Face aux attaques, l'ancien bras droit de Michel Platini s'est défendu à sa façon...
"Je ne comprends pas pourquoi vous nous critiquez, moi et la FIFA. Je ne comprends pas pourquoi certains journalistes sont si méchants… Peut-être que je ne parle pas assez aux journalistes. Peut-être que vous n'avez pas assez de fuites ? (…) Vous savez, quelqu'un a dit un jour que la FIFA était le Robin des Bois du football, mais nous ne volons pas les riches. Nous aidons simplement les pauvres à accéder au football", a très sérieusement déclaré le boss de l'instance ce jeudi.
"L'Italie, l'Egypte de Mohamed Salah, la Suède, la Turquie, le Chili ou encore l'Algérie de Riyad Mahrez n'ont pas réussi à se qualifier lors d'une Coupe du monde à 32 équipes", a également avancé Infantino pour justifier le passage à 48 équipes au Mondial dans trois ans.