En embrassant sur la bouche la joueuse Jennifer Hermoso (voir la brève d'hier à 17h56), après le sacre de l’équipe d’Espagne contre l’Angleterre (1-0) en finale de la Coupe du monde féminine dimanche, le président de la Fédération espagnole de football, Luis Rubiales, a suscité une vive polémique. Mais plutôt que de s’excuser d’un geste qui n’a pas plu à l'attaquante, le dirigeant a tancé ses détracteurs.
"N'écoutons pas les idiots et les gens stupides, vraiment. Il s'agit juste de deux amis qui fêtent quelque chose. Nous ne sommes pas là pour des bêtises. Ignorons les détracteurs et profitons des bonnes choses. Ne me parlez même pas des imbéciles qui ne savent pas voir le positif, c'était un geste sans méchanceté. (...) Si les gens veulent perdre leur temps avec ça...", a lancé le patron du football espagnol auprès de la Cadena COPE. Une réponse pour le moins inattendue...