Mis hors de cause par la justice suisse dans l’affaire du paiement jugé déloyal de 1,8 million d’euros reçu de la part de l’ex-président de la FIFA, Sepp Baltter, Michel Platini attend désormais que l’instance dirigeante du ballon rond lève la suspension qui le frappe jusqu’en octobre 2019. Dans le cas contraire, l’ancien président de l’UEFA est prêt à explorer tous les recours possibles.
"Est-ce que je suis prêt à les attaquer ? Oui, je suis prêt à tout. Ils m’ont fait beaucoup de mal. Ils ont voulu m’humilier, ils ont voulu me tuer professionnellement. Le président de la FIFA et tous ses collaborateurs ne voulaient pas que je sois président, a dénoncé le Français au micro de TF1. Je ne l’accepte pas et je ne lâcherai pas. Je suis revanchard. (…) On m’a privé de toute ma vie, de ma passion du football. C’est pour ça que je leur en veux."
Malheureusement pour l’ancien dirigeant, l’instance a fait savoir samedi qu’elle ne compte pas réévaluer son cas (voir ici).