CdF : Sochaux 1-6 Rennes (fini)

Les Rennais ont survolé les débats ! Avec une domination totalement écrasante, Rennes a pris le meilleur sur Sochaux (6-1) au Stade Bonal ce mardi pour le compte des 8es de finale de la Coupe de France.

Dans une superbe atmosphère au Stade Bonal, les premières minutes étaient marquées par la blessure de Le Fée, touché à la cuisse et évacué sur une civière. Malgré ce coup dur, les Bretons réalisaient une entame sérieuse avec du mouvement et une première frappe de Bourigeaud captée par Patouillet. Acculé, le pensionnaire de National subissait les débats, mais résistait à l’image d’un Fontaine très présent. Dans la cage du FCSM, Patouillet était également impeccable en remportant un duel face à Kalimuendo !

Mais quelques minutes plus tard, le gardien sochalien restait sans la moindre réaction face à une frappe enroulée magnifique de Gouiri, qui trouvait la lucarne depuis l’entrée de la surface (0-1, 24e). Superbe ! Dépassés, les Sochaliens craquaient encore avec un centre de Truffert mal repoussé par Vitelli sur Salah, auteur d’un tir puissant pour doubler la mise (0-2, 29e). En démonstration, Rennes enfonçait le clou avec un centre de Truffert pour Kalimuendo, buteur devant la cage vide (0-3, 35e). Après une opportunité loupée devant Patouillet, Kalimuendo s’offrait même un doublé d’un tir placé avant la pause (0-4, 41e).

Dès le retour des vestiaires, le cauchemar continuait pour les Sochaliens avec une frappe de Blas repoussée par Patouillet sur Gouiri, qui inscrivait également un doublé (0-5, 47e). Dans la foulée, Matusiwa avait aussi l’occasion de participer à la fête, mais perdait son duel face à Patouillet ! Avec les nombreux changements réalisés à la mi-temps et le soutien indéfectible du public, Sochaux relevait la tête dans le jeu.

Et sur une incursion de Viltard, Omari se mettait à la faute en concédant un penalty. Le capitaine sochalien sauvait l’honneur d’une frappe sur la droite (1-5, 65e). Encore sauvé par Patouillet devant D. Doué, Sochaux était trop souvent à la limite et cédait à nouveau sur une frappe de Bourigeaud après un gros travail de D. Doué (1-6, 82e). Un véritable festival et une qualification amplement méritée pour Rennes.