Les petits ont subi ce samedi lors des 32es de finale de Coupe de France… Logiquement, le Paris FC a pris le meilleur sur Alès (2-1). Dès les premières minutes, les Parisiens ouvraient le score par Jabbari, en deux temps, à la suite d’une grossière erreur de Nadifi (0-1, 2e). Totalement étouffée, la formation de National 2 affichait surtout un énorme déchet technique et se montrait incapable de réagir. Malgré une vraie maîtrise, le club de Ligue 2 jouait avec le feu sur un corner, mais la défense se reprenait avec un dégagement sur la ligne.
Après la pause, les amateurs affichaient de bonnes intentions avec une agressivité retrouvée, mais peinaient à approcher la cage adverse. Physiquement, le PFC prenait, au fil des minutes, l’avantage avec une pression de plus en plus forte pour faire le break. Actif depuis le début de la partie, Kebbal était récompensé avec un joli but (0-2, 77e). Malgré un penalty transformé par Mahamat sur une panenka (1-2, 90+5e) dans les ultimes secondes, le Paris FC se qualifiait logiquement.
Dans le même temps, Romorantin n’a pas tremblé contre le CS Moulien (4-0) ! Immédiatement tranchants, les Romorantinais poussaient, mais Ajax sauvait son équipe avec une grosse parade à bout portant. Dans la foulée, la défense ratait totalement son dégagement et Popineau en profitait pour ouvrir le score (1-0, 6e). Dépassée, la formation de Régional 1 subissait totalement les débats et malgré une frappe sur le poteau puis un arrêt d’Ajax, Gagnon parvenait à faire le break devant la cage vide (2-0, 11e). Malgré une légère réaction, Moulien restait en danger, mais Ajax continuait de multiplier les parades pour éviter le naufrage des siens, avec des tensions juste avant la pause…
En seconde période, l’équipe de National 2 gérait tranquillement les débats sans vraiment se faire violence. Et à l’heure de jeu, Pipineau profitait d’une défense à l’arrêt pour sceller cette rencontre avec un but à bout portant (3-0, 58e). Facile jusqu’au bout, Romorantin enfonçait le clou avec un ultime but signé Arzala (4-0, 78e). Une qualification logique.
De son côté, le Puy-en-Velay a assuré l’essentiel face à Lyon-La Duchère (2-1). Dès le début de la rencontre, Piechocki a parfaitement lancé dans la profondeur Karamoko, qui a remporté son duel devant Rambaud d’un tir placé (0-1, 5e). Bien trop imprécise, l’équipe de National 3 peinait à réagir avec des ballons perdus et un entrejeu totalement à la rue. En maîtrise, le Puy parvenait même à calmer le jeu pendant de longues minutes pour casser le rythme, avant un tir d’Iva qui frôlait le poteau. A l’approche de la pause, les Lyonnais donnaient l’impression de se reprendre dans l’agressivité, et pourtant Adinany doublait la mise de la tête après une déviation sur corner (0-2, 37e).
Après la mi-temps, le pensionnaire de National 3 était enfin dangereux, mais Jebabli envoyait sa frappe dans les tribunes. Dans la foulée, Maluvunu pensait relancer les siens, mais un hors-jeu était signalé… Puis à l’heure de jeu, Iva était à deux doigts de sceller cette rencontre, mais Rambaud sortait le grand jeu ! Un tournant ? Lyon-La Duchère relançait en tout cas le suspense par Bentahar (1-2, 83e). Mais finalement, Le Puy validait cette qualification pour la suite de la compétition.
Enfin, Orléans a renversé Nîmes (2-1) dans un duel entre deux équipes de National. Le début de la partie était particulièrement tendu avec de nombreuses fautes de la part des deux formations. Dans le jeu, les Orléanais affichaient de meilleures intentions, mais peinaient à approcher la cage adverse. Et sur un centre, ce sont bien les Nîmois qui ouvraient le score avec un tir de Laurens (0-1, 27e) à bout portant à la suite d’une grossière erreur de Saint-Ruf. Cependant, dans la foulée, la réaction d’Orléans était immédiate avec un centre repris de la tête par Dabasse (1-1, 31e) pour égaliser.
Au retour des vestiaires, les Orléanais prenaient immédiatement l’avantage avec un centre pris à bout portant de la tête par Vula (2-1, 49e). Même mené, Nîmes éprouvait de grosses difficultés pour se révolter. Et sur un rythme plutôt faible, Orléans parvenait à contrôler les débats. Et jusqu’au bout, Orléans, malgré une opportunité loupée par Goujon et un but refusé pour hors-jeu à Doucouré, conservait cet avantage au score afin de se qualifier.
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