Battue après prolongation par la Guinée Equatoriale en quarts de finale de la CAN samedi dernier (2-1), la Tunisie s'était plaint à juste titre de l'arbitrage et avait laissé planer un doute de corruption, le pays hôte ayant bénéficié d'un penalty imaginaire à quelques secondes de la fin du temps réglementaire alors que les Aigles de Carthage menaient 1-0 et se dirigeaient vers la qualification.
La complainte n'a pas plu du tout à la Confédération Africaine de Football qui a donné jusqu'au 12 février à la Tunisie pour présenter ses excuses, sous peine d'être exclue de la prochaine Coupe d'Afrique des Nations en 2017.