Désigné entraîneur de Brest mercredi après le limogeage de Landry Chauvin cette semaine, Corentin Martins aura la lourde tâche de sauver de la relégation le club breton, entré dans la zone rouge depuis sa défaite face à Lille dimanche (1-2). Mais le technicien par intérim ne semblait pas le plus enthousiaste à l'idée de reprendre les rênes.
"Je n'étais pas postulant. D'abord, on a travaillé sur des pistes d'entraîneurs. Il y en a que l'on a écartés, d'autres qui ont refusé. Les dirigeants ont souhaité que je prenne le poste, donc je suis là . C'est un intérim, on verra jusqu'où il va durer", a-t-il glissé à RMC.
Le président brestois Michel Guyot peut croire en un nouveau miracle. La saison passée, Martins avait déjà endossé le costume d'entraîneur à 5 journées de la fin à la place d'Alex Dupont. Il avait permis aux Brestois de remonter de la 18e à la 15e place. Il lui reste 8 journées pour faire aussi bien.