Depuis plusieurs semaines, le Stade Brestois se plaint de nombreuses décisions arbitrales défavorables, notamment lors de la défaite à Monaco (0-2) en Ligue 1. Lors d'un entretien accordé au quotidien L'Equipe ce dimanche, le directeur sportif brestois Grégory Lorenzi a dénoncé un arbitrage à deux vitesses.
"Un exemple : face au PSG (2-3), il y a un penalty provoqué par Lilian Brassier. Il n'y a pas de débat. Si c'est pour nous, à la 90+5e minute, ce n'est pas sifflé. La médiatisation des deux clubs n'est pas la même. Brest, ça intéresse qui ? Les arbitres ne le font pas exprès. Ils se protègent par rapport à la pression, la médiatisation, difficiles à gérer", a estimé le dirigeant de Brest.