Une bien belle semaine pour Joan Laporta. Le président du FC Barcelone a finalement réussi à inscrire Dani Olmo et Pau Victor (à condition que LaLiga n'obtienne pas gain de cause en appel), et ses joueurs ont humilié le Real Madrid (5-2) en finale de la Supercoupe d'Espagne dimanche. Deux jours plus tard, le boss blaugrana a tenu à régler quelques comptes avec ceux qui ont réclamé son départ, à savoir quelques groupes de supporters et certains opposants pour la présidence du club.
"Nous sommes revenus à la règle du 1-1 du fair-play financier (un euro généré, un euro dépensé, ndlr), ce qui nous permet désormais de recruter normalement et d'inscrire des joueurs comme Dani Olmo et Pau Victor. Cela confirme la force du FC Barcelone et démonte le discours apocalyptique de certains. (...) Différents acteurs, avec leurs moyens médiatiques respectifs, se sont unis pour imposer une histoire ignominieuse qui n'a rien à voir avec la réalité. Ils se sont positionnés du côté qui voulait nous nuire, du côté des médias hostiles", a déclaré l'homme de 62 ans face aux journalistes.
"Est-ce que quelqu'un a cru que j'allais démissionner à cause d'une décision de LaLiga ou de la Fédération ? Nous vendrons très cher notre peau, vous pouvez l'imaginer. Je suis très déçu par les gens qui aspirent à devenir président. Il ne s'agissait pas d'être du côté de Laporta, mais du côté du Barça", a conclu l'homme fort du club catalan.