La scène surréaliste a fait le buzz en Angleterre, et pas seulement. Le dimanche 5 octobre dernier, pendant le derby londonien entre Arsenal et Chelsea (2-0 pour les Blues), Arsène Wenger est venu s'en prendre physiquement à José Mourinho après un attentat de Gary Cahill (28 ans) sur Alexis Sanchez (25 ans). Et alors que les deux rivaux n'ont pas souhaité s'excuser cette semaine, c'est le Français qui a décidé de faire le premier pas.
"Avec le recul, je pense que je n'aurais pas dû réagir, a admis l'Alsacien. Ce n'est pas du tout la façon dont je veux me comporter sur un terrain de foot. Je regrette toujours le moindre signe de violence et je m'en excuse. Mais ça fait aussi partie de ces matchs où tout est survolté. (…) Mais il ne faut pas non plus exagérer. Si vous voyez la moitié de ça sur un terrain de rugby, personne ne s'en émeut. (…) Je ne suis pas entré dans la zone technique. J'étais à l'extérieur."
Pour rappel, la Fédération anglaise a décidé de ne pas sanctionner les deux managers.