A nouveau surpris par Brighton (1-2) dimanche, Arsenal s’enfonce un peu plus dans la crise avec une série de 4 défaites consécutives toutes compétitions confondues. En pleine tempête, l’entraîneur du club londonien, Arsène Wenger, se retrouve très fragilisé. Une fois encore interrogé sur son possible intérêt pour éventuellement succéder à l’Alsacien, l’ancienne gloire des Gunners, Thierry Henry, a tenté de ménager la chèvre et le chou.
"Nous nous demandons : doit-il partir (Wenger, ndlr) ? Je ne pourrai jamais dire cela. Je ne me mouille pas, mais je ne pourrai jamais dire ça. J'ai combattu avec cet homme, c'est pour cela que je ne pourrai jamais le dire, a affirmé le champion du monde 1998 au micro de Sky Sports. Ce que je ne veux pas voir, c'est ce qui lui arrive en ce moment, et je voudrais qu'il ait le dernier mot, quel que soit le mot dont il s'agira. (…) Si vous aimez un endroit et qu'ils (les dirigeants) demandent - je répète, si eux demandent - de l'aide, vous allez toujours dire oui. (…) Nous parlons de quelque chose d'hypothétique - avant que tout le monde se mette à imaginer quoi que ce soit -, (mais) je n'ai jamais reculé devant un défi depuis que je suis jeune."
En d’autres termes, l’actuel assistant du sélectionneur belge Roberto Martinez se verrait bien entraîner les Gunners, mais pas question de pousser son ex-coach vers la sortie…